Archives de février, 2009


 
Les sexologues traitent les problèmes posés dans l’exercice
de la sexualité que ce soit avant le rapport ou durant le rapport :
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Les troubles du « début » du rapport
Il s’agit des problèmes de désir (trop ou pas assez), des problèmes de l’imaginaire (fantasmes), des problèmes des manifestations du désir (l’envie sans expression corporelle : érection et lubrification), …
Les troubles de la réalisation du rapport
Il s’agit des difficultés à être d’accord sur les préliminaires, des douleurs, de l’impossibilité de pénétrer (perte de l’érection ou douleur/porte fermée chez la femme), de l’éjaculation rapide, de l’absence de sensations agréables, …

Les troubles de l’aboutissement du rapport
Il s’agit de l’absence d’éjaculation, de l’absence d’orgasme, …

Les questions générales sur la sexualité
Volonté de recherche (conseils), d’éducation sexuelle, réponse aux angoisses (questions sur la normalité), problèmes organiques (taille du pénis, mutilations, reconstruction), problèmes de genre (transsexualisme), problèmes « d’orientation » sexuelle, comportements particuliers (perversions).

TEMOIGNAGES.

Ejaculation rapide :

Marié, 2 enfants, la cinquantaine, j’ai eu de la chance dans ma vie. Tout aurait été parfait si je n’avais toujours été trop rapide. Quand j’étais jeune, je pouvais recommencer et finalement ça allait mieux la deuxième fois, mais avec le stress, la fatigue, etc. il devient difficile de recommencer et mon épouse souhaitait qu’on « s’amuse » un peu plus maintenant que les enfants sont grands, elle voulait profiter de la vie et découvrir une sexualité plus épanouie. J’ai longtemps attendu, mais la peur qu’elle aille ailleurs faire ses découvertes m’a décidé ! Je me sentais mal d’avouer cette faiblesse, mais sur internet tout est plus facile. J’ai lu sur le site la description et je me suis reconnu, c’est vrai que j’ai jamais appris comment faire, je pensais que c’était « naturel », et je me trompais ! Il n’a fallu que 3 exercices, sur 6 semaines pour que je réussisse ! Maintenant je m’améliore de plus en plus, en pratiquant, et ça n’a rien à voir. Quand j’y pense je me dis, « quel gaspillage ! », toutes ces années perdues alors qu’il était si facile de s’en sortir.

Trouble de l’érection :

A 30 ans, quand on a du mal à bander, les médicaments c’est super, c’est magique ! Mais on ne peut s’empêcher de se poser des questions : puisque l’urologue a dit qu’on a rien, puisque des fois le matin on bande, alors pourquoi prendre ces pilules ? En plus, la seule femme à qui je l’ai avoué a été vexée, alors que j’ai eu beau lui dire que je la trouve très excitante, maintenant je ne le dis plus, je le cache ! Et puis, je ne fais pas l’amour 2 fois par mois, et ça revient cher ! Non ! Il fallait que ça marche, et naturellement, que je sois un homme sans béquilles sexuelles ! Et comme on trouve tout sur Internet, j’ai trouvé ce site. Après tout pourquoi pas essayer ? C’est presque rien comparé au coût des pilules. Bon ça m’a un peu dérangé ces question indiscrètes, mais c’est plutôt logique, et si on le fait, autant répondre honnêtement. Enfin tout ça pour dire que pour moi ça a bien marché, ça m’a réveillé leurs exercices, je me demande même pourquoi on m’en avait jamais parlé !

Absence d’orgasme :

Franchement, l’orgasme vaginal j’y croyais pas ! Je lisais les magasines d’été, les articles spécialisés et je me disais que c’était sûrement du cinéma, car moi je ressentais surtout un grand ouf, et je me disais « ça soulage », mais je voyais pas tous les trucs dont je lisais les descriptions. Et puis mon mari (il est adorable) aurait bien voulu que je sois plus expensive, je me sentais un peu coupable de pas lui donner le maximum. En voyant ce site je me suis dis, je vais pas mourir idiote, et au moins ils disent que je suis pas malade dans ma tête, ça rassure ! J’avais un peu peur qu’il me disent de me détendre, comme j’ai lu dans certains magasines « détendez-vous, lâchez-prise » qu’ils disent, ça a l’air facile, mais si je me détends, je m’endors et lâcher prise il faut m’expliquer comment faire concrêtement. Enfin, j’étais dubitative, mais j’ai essayé. D’abord le questionnaire, c’est sûr c’est complet et on parle pas d’autre chose ; puis les exercices, du concret, clair et pas de conseils délirants (j’avais vu des sexologues dans des films, ça m’inquiétait quand même). Et finalement, je peux vous le dire, ça marche !

Pénétration impossible :

Je crois que j’ai le mari le meilleur du monde. Depuis qu’on se connaît, il patientait, on n’a pas pu avoir de rapport complet, j’étais bloquée, si on essayait j’avais mal, et lui il patientait ! Quand on s’est mariés, on avait déjà décidé d’avoir des enfants, on pensait à essayer la fécondation artificielle, mais en fait je voulais quand même essayer la façon naturelle, et en fait j’avais peur qu’à l’hôpital, ils voient que j’étais vierge. On a essayé de consulter ensemble, mais le seul sexologue de notre région nous a demandé des choses qui n’allaient pas, je ne voulais pas mettre des objets là ou mon mari peut pas rentrer, c’est déjà assez difficile comme ça. On se sentait un peu perdus quand même, puis mon mari m’a montré le site et on a écrit ensemble. Ils ont bien compris et on a reçu des réponses à lire ensemble et des parties justes pour moi, et puis aussi des exercices à 2, et des exercices juste pour moi, c’était bien comme ça. Et finalement, de savoir qu’on pouvait progresser ça a déjà diminué la pression et on vivait mieux nos moments intimes, puis avec les exercices, c’est moi qui ai dirigé (un peu) pour que ça marche. Maintenant je crois qu’on sera bientôt une famille plus grande.

 

                                                                                                            Frigidité.

D’aussi loin que je me souvienne, je n’ai jamais rien senti ! Je n’ai jamais été intéressée par la sexualité, je n’en ai jamais eu envie. J’ai supporté la sexualité pour faire plaisir à mon mari, mais aujourd’hui ça devient trop dur. Je ne supporte pas qu’il me touche, ses baisers me dégoûtent, j’ai envie de le jeter. Je le trouve même bestial dans ces moments-là et je me demande comment je peux l’aimer. En plus, je le vois venir de très loin, quand il rentre avec son sourire, je me dis aussitôt : il va encore essayer ce soir ? Et déjà ça me crispe. Je voudrais bien résoudre ça. J’ai l’impression de ne pas être comme les autres, mais surtout je crains qu’il ne me quitte.

Douleurs durant les rapports

Je n’arrive plus à avoir des rapports car c’est douloureux, je ne sais pas si j’ai des problèmes gynécologiques car je ne supporte pas d’aller chez un gynécologue, d’ailleurs, je n’arrive pas à me décontracter ce qui gêne les consultations. J’ai déjà réussi à avoir des rapports mais sans plaisir. Suite à cette déception, j’ai gardé du désir à l’idée du rapport mais c’est devenu douloureux (sécheresse?). Aujourd’hui, j’ai l’impression de faire du vaginisme. Tout cela me cause évidemment des troubles du désir puisque j’ai peur d’avoir mal et d’être à nouveau déçue de ne pas avoir de sensations vaginales. En bref, j’ai eu des rapports sexuels une ou deux fois avec chaque partenaire mais jamais plus… Au-delà, c’était impossible. Je suis depuis 4 ans et demi avec mon ami actuel, auquel je tiens, et qui se montre plus que patient mais je crois qu’il est temps de régler ce problème qui dégénère. Il paraît que j’intellectualise trop le rapport. Oui, c’est normal, pour l’instant je ne sais pas faire autrement. Je commence un peu à désespérer.

Troubles du désir

Je vous contacte aujourd’hui car je pense que mon couple va de plus en plus mal à cause de mon manque de désir sexuel qui ne cesse de progresser. Je suis une jeune femme de 31 ans et je suis avec mon ami depuis une douzaine d’années. Au début, les relations sexuelles étaient pour moi un jeu, puis assez rapidement c’est devenu une contrainte plus qu’un plaisir. Le plus fou dans cette histoire c’est que pendant l’acte j’éprouve du plaisir. C’est ce qui me déprime finalement le plus, et que mon ami a du mal à comprendre. J’ai un job assez prenant, j’avais tendance à lier ces troubles du désir au stress. Mais cette année, même les vacances n’ont pas été salvatrices… La rentrée m’a assommée de travail et de fatigue, ce qui n’arrange rien car j’ai besoin de pas mal de sommeil. Je préfère dormir que de faire l’amour. Mon esprit ne peut pas lutter contre, et cela m’a fait beaucoup de peine pour mon ami qui est, je le sens, très malheureux. Mes refus répétés altèrent de plus en plus gravement nos relations qui restent pourtant bonnes, mais pleines de non-dits. Depuis quelques temps nous avons un accès Internet chez nous et j’ai pu découvrir que mon ami consultait régulièrement des sites pornos pendant que je dors principalement ! Comment lui en vouloir et le lui reprocher alors que je ne le satisfais que très peu. Je ne remplis pas mon devoir. Il voit que je me force, mais que je ne simule pas lorsque j’éprouve du plaisir

Autres.

Je suis bien embêté parce que je me trouve dans une situation ou je me suis aperçu que la pratique d’un loisir un peu particulier empiète sur ma vie familiale et même professionnelle. En fait, je surfe pas mal sur des sites pornos. Qu’on s’entende bien, je n’en ai pas honte, j’aime le porno comme d’autres aiment l’art, mais mon problème est surtout que je ne peux pas m’en empêcher : je dois y aller chaque jour. Dès que j’ai un instant libre, je me dis « tiens si j’allais voir quelques images ? », en plus c’est tellement facile. Personne ne le sait, je dis que je travaille ! Dès que je rentre chez moi, je vais à mon ordinateur, le week end aussi. Et le pire c’est que je peux le faire pendant des heures. Je ne crois pas être pervers parce que je ne regarde pas des sites de pervers, et que je peux y passer du temps, ce n’est pas l’affaire de 5 minutes pour se masturber comme certains pourraient le faire. Mais le problème est que je ne passe plus de temps en famille ou sauf vraiment parce que je ne peux faire autrement, et en pensant à foncer voir des images dès que ce sera fini. Et même au travail, j’essaye de m’obliger à ne pas y aller, j’ai même pu m’empêcher de surfer du bureau, mais quand je suis seul, je me dis « aller, 5 minutes, pour voir » et je sais que je risque gros. Mon problème c’est que je ne peux pas m’en empêcher !

CONTACTEZ UN SEXOLOGUE /  http://www.docsexo.com/processur_de_consultation.shtml?login=5000510&tracker=sexy-bazar

 

 

 

 

 

 


CONSTRUIRE SON COUPLE GAY.
Au début d’une relation, même la plus fusionnelle, il est essentiel de faire un test VIH à deux afin d’éviter toute prise de risques. Si aucun d’entre vous n’est séropositif, vous pourrez éventuellement envisager d’abandonner le préservatif si vous vous engagez préalablement à vous protéger avec vos autres partenaires.
Cette stratégie n’est cependant pas sans risque. Ainsi, lorsqu’on vit en couple ouvert, seule la protection systématique au sein du couple permet d’avoir l’esprit tranquille tant au niveau du VIH que des IST (infection sexuellement transmissibles).
Si l’un d’entre vous est séropositif, utiliser des préservatifs pour la pénétration et la fellation est la meilleure protection contre le VIH et les autres IST.
Pourtant ce n’est pas toujours simple et la sexualité du couple peut engendrer des envies ou des désirs d’intimité sans protection.
Chez certains, la peur d’être contaminé ou de contaminer l’autre existent aussi. Cette peur, qui reste souvent non dite, peut perturber la libido et les relations du couple.  Si tu es dans ce cas, il est important d’engager avec ton partenaire un dialogue sur les sujets qui te préoccupent.
Penses à long terme plutôt que sur l’instant présent. Ne laisses pas les émotion du moment mettre en danger ta santé ou celle de partenaire. Optez tous les deux pour des pratiques que vous avez choisies ensemble parce qu’elles vous sécurisent et préserveront votre relation dans la durée.
Texte de Pascal d’Ameyal
SNEG PREVENTION
Partenaire de la vie Gay.
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RESERVE STRICTEMENT AUX ADULTES

Vous souhaitez vous renseigner et adhérer à UNIVERS-RENCONTRES, contatez-nous par courriel :

univers.rencontres@gmail.com

L’Association Univers Rencontres a placé un lien et dictionnaire de recherche sur les mots en surbrillance bleue, cliquez sur ce lien pour avoir la nature de ce mot

CONSEILS POUR L’UTILISATION DE LA CAPOTE :

1 – N.F. No Fear
Vérifiez que l’emballage est intact et que la date de limite d’utilisation n’est pas dépassée. Vérifiez également que le préservatif présente la norme NF ou CE, attestant de la conformité aux normes françaises ou européennes. Ouvrez l’emballage avec précaution pour ne pas abîmer le préservatif. Avec les doigts ! Pas avec les dents… un peu de contrôle ! Veillez à ne pas endommager les préservatifs avec vos ongles, vos bagues ou tout autre objet coupant.

2 – Get up ! Stand up !
Evitez tout contact entre le pénis et le corps du partenaire, car il arrive qu’une goutte de sperme s’écoule avant l’éjaculation. Ne mettez le préservatif que quand le pénis est en érection.

3 – De la pratique !
Vérifiez que la partie à dérouler se trouve à l’extérieur. Pincez l’extrémité du préservatif (le réservoir) afin d’en chasser l’air. Placez-le au bout de votre sexe et déroulez le jusqu’à la base du pénis en érection tout en maintenant le réservoir. La sensation bizarre, que vous éprouvez actuellement s’estompera, après en avoir utilisé plusieurs.

4 – Un lubrifiant non-gras
Pour faciliter la pénétration et améliorer la protection, il est recommandé d’utiliser un gel lubrifiant non-gras à base d’eau. Ne prenez pas ce qui vous tombe sous la main : pas de beurre, vaseline, pas de crème de soins. Et si l’huile peut être utile pour votre voiture ou vos salades, elle n’est pas un ingrédient des recettes de l’amour. Les corps gras abîment le préservatif, le rendent poreux et donc perméable.

5 – Pas d’évasion
Vérifiez pendant l’acte que le préservatif reste en place. Si ce n’est pas le cas, mettez un nouveau préservatif.

6 – Un dernier effort
Enfin, retirez-vous avant la fin de l’erection. Ensuite, avec un mouchoir en papier, enlevez le préservatif usagé et jetez-le à la poubelle (pas dans la cuvette des toilettes !).

Pour les dernières vérifications, consultez le « top 10 de l’expert« .

Où l’acheter ?

Seules vos habitudes peuvent guider votre choix : dans une grande surface, une pharmacie, un distributeur ou même dans votre petite épicerie de quartier… si, si, allez voir !
Vous trouverez des distributeurs automatiques dans les boîtes de nuits, sur les façades des pharmacies, dans les stations de métro et dans certains lycées, résidences universitaires, dans la boutique en ligne Association UNIVERS-RENCONTRES. La qualité ne varie pas en fonction du lieu d’achat. Quel que soit l’endroit choisi, vous devez néanmoins contrôler que figure sur l’emballage l’inscription NF ou CE. Ces sigles constituent une garantie de qualité, elles attestent du respect du produit à des normes françaises ou européennes.

Si t’es cap’, t’es capote !

« EUUUUHHH….ummm….ggg ». Au moment d’aborder le sujet, vos paroles ont tendance à ressembler étrangement aux dialogues de « La guerre du feu »…. Peur de casser l’ambiance ? Ne rien dire serait la pire chose à faire. Préférer le risque de piquer un fard à celui d’attraper ou de transmettre une MST ou d’avoir une grossesse non désirée. Si vous partagez suffisamment de complicité avec votre partenaire pour lui faire l’amour, vous devriez sans problème pouvoir lui parler de protection. Il ou elle ressent certainement les mêmes choses que vous. Ensuite, laissez libre cours à votre imagination, depuis le circonstancié « Ca tombe bien, j’ai acheté des préservatifs », l’informatif  Ce serait plus sûr pour nous deux si on utilisait un préservatif », le romantique « Si tu m’aimes, utilise un préservatif », l’imaginatif « Et maintenant, le passeport pour le septième ciel… » jusqu’au nécessaire « Un préservatif, sinon rien ». Même si vous avez entièrement confiance l’un dans l’autre, pensez à votre partenaire… et aussi à ses partenaires avant vous ; une seule infection, et cette belle confiance ne vous protégera plus. En vous protégeant systématiquement, vous ne casserez pas le romantisme, bien au contraire la protection est une marque de respect, une preuve d’amour.

David Bême

Forum La contraception
Forum Sida
Forum Le premier rapport sexuel
Forum Forum Les maladies sexuellement transmissibles

LES MALADIES SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES

Le nombre de cas de syphilis n’a cessé d’augmenter en France depuis 2000 et tout particulièrement dans le Nord de la France. Près de 100 cas ont été déclarés en 2007 dans la Région Nord – Pas de Calais, contre moins de 5 cas en 2000. De plus, on note une évolution progressive du profil des personnes atteintes, des hommes qui ont des relations sexuelles avec les hommes vers la population hétérosexuelle.La syphilis est une infection sexuellement transmissible (IST) très contagieuse. Sans traitement la syphilis est une maladie grave. Sa guérison est assurée rapidement par un traitement antibiotique.

Devant la recrudescence des cas et le changement progressif du profil des patients, les associations locales et nationales – AIDES, Sida-Info-Service, Spiritek et le SNEG – se mobilisent et organisent une grande campagne d’incitation au dépistage de la syphilis dans toute la région Nord-Pas-de-Calais. Cette campagne est financée par le Groupement Régional de Santé Publique (GRSP).

Parallèlement à cette campagne, le service universitaire des maladies infectieuses de Tourcoing et l’Institut de Veille Sanitaire mettent en place une étude pour identifier les facteurs de risques de survenue de la maladie chez les hommes dans l’agglomération lilloise.

Pour plus d’informations, consultez www.depistagenord.fr


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